Dr. Taha KOUZI

Fondateur de HIS & président du conseil d’administration.

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Dr. Taha KOUZI

Fondateur de HIS, président du conseil d'administration.

Certaines de nos habitudes académiques ont creusé un fossé entre l’université et la vie réelle. Insensible aux maux de la société, l’université est devenue un corps inerte cherchant à être réanimée pour revenir à la vie et devenir l’axe de la vie sociale, et le centre de gravité pouvant repenser l’école, l’usine, la start-up, la mosquée, les concepts administratifs, l’urbanisme et l’industrialisation…

Après l’achèvement de la structure de l’université privée «Higher Institute of Sciences» et l’établissement de ses repères,il est grand temps de détruire cette muraille qui a longtemps séparé l’université du monde réel et se débarrasser de tout ce qui l’étouffe et entrave son développement. Ainsi, le travail académique renaitra de ses cendres et réveillera ses sens pour se fondre à nouveau dans la société, et répondre aux attentes de l’usine, l’école, le savant en matière de Fiqh « jurisprudence » et le législateur…

L’université privée « Higher Institute of Sciences » était une idée et une perspective, qui est devenue une graine. Aujourd’hui c’est une bouture qui prend racine et feuillage. Quoi qu’il en soit, elle appartient et s’imprègne de son environnement local, en histoire et en géographie, en civilisation et en pensée. Elle fait partie intégrante de sa patrie. Prête à la soutenir contre vents et marées, en public et en privé, dans la prospérité et le malheur…

L’université privée, « Higher Institute of Sciences », ne mise dans l’atteinte de ses objectifs et la réalisation de ses stratégies que sur le capital humain dont notre pays l’Algérie regorge. Elle aspire à créer une “société de la connaissance”, en espérant qu’elle sera tel un collier de perle unique dont les perles ne sont autres que des étudiants studieux, des professeurs “plus expérimentés” et dévoués, des parents qui agissent et interagissent, et une administration efficace et dynamique, parfaitement immunisée contre la bureaucratie…

L’université a structuré une vision stratégique qui aspire à obtenir à l’aube de l’an 2036, une génération de haute moralité, ouverte sur de plus vastes horizons, jouissant d’une formation spécifique. Une génération qui apportera une valeur ajoutée à sa société et à sa patrie ; et quelle que soit la carrière pour laquelle optera l’étudiant : Employé auteur de l’action, chercheur générateur d’idées, innovateur détenteur d’un “brevet” ou un initiateur d’une “Start-up” productive . Tout notre espoir est qu’il sera au premier rang pour construire sa patrie, ajouter sa pierre à l’édifice, participer activement à sa protection, et augmenter le produit intérieur brut en matière « d’idées », “d’initiatives”, de “production économique” et “d’action éducative”… L’administration universitaire ambitionne de transmettre le flambeau du leadership de l’université à cette génération pour réussir là où nous avons échoué…

En attendant ce jour, je leur dis que « célébrité » dans le football, par exemple, ne rime pas avec « équipe brillante ». La « célébrité » peut être destructrice quand elle alimente l’égoïsme et les considérations étroites … Nous devons croire à notre réussite, et avoir la conviction que nos pays et notre nation verront le jour lorsque nous nous libèrerons de notre ego et nous vaincrons notre égoïsme individuel ou collectif…